Turquie : le gouvernement doit abandonner les accusations de terrorisme contre les 100 syndicalistes de KESK

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KESK2Il y a quelques semaines, nous vous avons écrit pour demander votre soutien dans une campagne pour exiger la libération d’une centaine de syndicalistes, arrêtés en Turquie.

Votre participation a été magnifique ; vous étiez plus de 11 000 à envoyer des messages de protestation.

Aujourd’hui, les nouvelles sont à la fois bonnes et mauvaises.

La bonne : 72 membres du syndicat des employés du secteur public, KESK, ont été libérés la semaine dernière, après dix mois d’incarcération.

Les mauvaises :
* les accusations n’ont pas été abandonnées et ils devront se présenter au tribunal à nouveau en juillet prochain.
* 15 autres militantes ont du comparaître au tribunal, hier.

Nous sommes sollicités par les organisations syndicales internationales afin de relancer cette campagne en inondant la boîte de réception du Premier Ministre, Recep Tayyip Erdogan, de milliers de nouveaux messages.

Si ce n’est déjà fait, vous pouvez en envoyer un en cliquant ici.

Si vous avez déjà participé(e), merci de transférer ce message à votre syndicat, vos camarades et toute personne susceptible de montrer sa solidarité avec les syndicalistes turcs.

Si chacun(e) d’entre nous pouvait rassembler une seule personne à notre cause, ce serait l’une des plus grandes campagnes jamais réalisées par LabourStart – et devrait attirer l’attention des autorités d’Ankara.

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