1 septembre 2015
de Andy
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Un appel à la solidarité de là où Solidarité est né

solidarnosc
La ville polonaise de Gdansk est le lieu de naissance de Solidarité, le syndicat… NSZZ Solidarnosc ! Cela s’est passé il y a plus de 30 ans, et aujourd’hui, dans un monde qui a bien changé, des ouvriers portuaires de Gdansk nous sollicitent à nouveau, une manifestation de solidarité.

Maciek Konopka a été viré de son emploi au Terminal Conteneurs en eau profonde en raison de son engagement en qualité de responsable syndical.

C’est la dernière d’une série d’actions antisyndicales entreprises par la direction dans laquelle neuf autres militants ont déjà été contraints au départ par l’intimidation. Leur employeur refuse de négocier collectivement sur des thèmes comme la précarité, les salaires, le travail durant les congés, etc.

NSZZ Solidarnosc et la Fédération Internationale des Ouvriers du Transport lancent une campagne internationale de solidarité avec les ouvriers portuaires de Gdansk pour exiger la réintégration de Maciek et ses collègues ainsi que la cessation des pratiques antisyndicales.

Merci de cliquer ici pour envoyer un message de protestation dès maintenant.

22 juillet 2015
de Andy
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Dites au Conseil de Hay River : l’embauche de briseurs de grève détruit la ville

hayriverLes employés syndiqués de la ville de Hay River, dans les Territoires du Nord-Ouest sont en grève depuis le 9 février. Trois séries de négociations et de conciliation ont échoué à résoudre le différend.

Depuis mai, les négociateurs syndicaux ont demandé à la Ville de soumettre le conflit à l’arbitrage exécutoire. La Ville refuse l’arbitrage, disant qu’elle parviendra à un accord par voie de négociation. Les négociations ne vont nulle part.

En juin, la ville a commencé à embaucher des travailleurs de remplacement pour effectuer les tâches des 31 grévistes.

L’utilisation de travailleurs de remplacement a enflammé les esprits, déchiré cette petite communauté jusqu’à-là rapprochée, et créé des divisions qui mettront des années à guérir. Les tensions ont récemment abouti à la destruction de biens syndicaux et des menaces de violence à l’encontre des travailleurs en grève.

La ville de Hay River veut casser le syndicat en embauchant des briseurs de grève, en accentuant les tensions et en prolongeant le conflit.

Les membres du Syndicat des travailleurs du Nord en grève, demandent au Maire et au conseil de la ville de Hay River de soumettre le différend à l’arbitrage exécutoire par un tiers indépendant, pour une fin rapide et honorable à cette situation douloureuse.

Merci de les soutenir en envoyant le message ci-après.

Partenaire

22 juillet 2015
de Andy
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Turquie. Anti-syndicalisme dans une usine fabricant des bagages de luxe

mulberryMulberry est une société britannique qui produit des biens de luxe comme les sacs en cuir. Elle proclame fièrement son engagement à la « responsabilité sociale des entreprises ».

Sur son site Internet, Mulberry proclame son insistance que ses « fournisseurs respectent les droits de leurs employés à adhérer ou à former une association de leur choix (tels que le conseil des travailleurs, syndicat ou association de travailleurs) ».

Sonne bien, non?

Sauf que ce n’est pas vrai.

Un des principaux fournisseurs de Mulberry, SF Cuirs en Turquie, est engagé dans une campagne antisyndicale primaire.

Au cours des dernières semaines, l’entreprise a licencié 14 syndiqués connus, proposant de les réembaucher à la condition qu’ils démissionnent du syndicat.

Elle a saisi un tribunal local pour obtenir la mise en fourrière d’une bannière syndicale et le blocage d’une diffusion d’informations syndicales par Internet.

Et elle a même déposé une demande de dommages-intérêts contre le syndicat.

Voilà pour « responsabilité sociale des entreprises».

Le syndicat (Deriteks) et sa fédération syndicale mondiale (IndustriALL) appellent à une campagne en ligne massive pour envoyer un message clair à Mulberry et SF Cuirs : NON à antisyndicalisme !

Merci de prendre un instant pour envoyer votre mes sage dès maintenant en cliquant ici.

Logo ODT

8 juillet 2015
de Andy
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Menaces de licenciement collectif à la société Honda-Seat à Rabat

L’Odt dénonce toute attaque à la liberté syndicale et appel à une solidarité nationale et internationale

Après le licenciement arbitraire du secrétaire général du bureau syndical de la Société Honda–Seat à Rabat M. Naime Abdelmadjid. La direction de la société affiche des menaces de licenciement à l’encontre de tous les membres du bureau syndical affilié à l’Organisation démocratique du travail Odt/Maroc. Elle a décidé d’engager des procédures de licenciement collectif en convoquant deux autres membres à l’inspection du travail à Rabat. Les deux militants, MM. Fenan Youssef, SG adjoint et Abdelghafour Bia, rapporteur ont été reçus, hier jeudi 2 juillet 2015 par l’inspecteur du travail en présence du patron de la société et de Mr Ennahili Med, membre du bureau exécutif de l’Odt pour un entretien préalable à un éventuel licenciement. Le rapport d’écoute porte sur des accusations infondées et fabriquées de toutes pièces par la direction de la société Honda contre les deux militants qui ont contesté toutes ses allégations. Ils sont actuellement en mise à pied conservatoire, prémices d’un licenciement pour faute grave(…). Tous les membres du bureau et adhérents sont actuellement en sit- in dans les locaux de la société et sont prêts à soutenir leurs camarades par tous les moyens nécessaires.

La direction de la Société Honda-Seat à Rabat affiche une animosité contre l’Odt et refuse toute discussion ou dialogue. Aujourd’hui à cause de comportements illégales, abusifs et arbitraires de la direction de la société, les jeunes syndicalistes payent pour leur engagement syndical auprès de l’Odt et pour leur revendication des droits légitimes. La direction de la société cherche de cacher une réalité amère dans la société Rabat. Les salariés travaillent dans conditions qui sont extrêmement pénibles, avec des salaires dérisoires ne dépassant pas 2000 à 2500 dh par mois moins de 250 euro. Ils sont obligés d’acheter leurs propres matériels et outil du travail. Cultive la précarité ce qui dévalorise l’image qualité des produits et des services de la société Honda–Seat.

L’Odt appel à une mobilisation de tous ses membres à la région de Rabat-Salé-Gharb pour protester contre la menace de licenciement qui pèse sur tous les membres.

du bureau syndical de l’Odt à la société Honda-Seat à Rabat. Pour un nouveau sit-in de solidarité et être nombreux à la porte de la société

L’Odt appelle à la solidarité pour protester contre la répression syndicale féroce organisée par la direction de la société Honda–Seat à Rabat Maroc contre les membres du bureau syndical dans cette entreprise.

L’Odt appel les centrales syndicales au niveau international à une mobilisation de solidarité et l’envoi de lettres de protestation au Ministre de l’Emploi marocain.

Monsieur le Ministre de l’Emploi du Maroc
Rue Al Jommayz
Hay Riad
Rabat
Maroc
Tél. +212 537760521/25 email: communication@emploi.gov.ma

Communiqué de Odt Maroc signé Ali Lotfi, Secrétaire Général.

7 juillet 2015
de Andy
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Arrestation d’un dirigeant du syndicat des enseignants iraniens… Vite, à l’action !‏

Esmail Abdi
Esmail Abdi, un des responsables de l’Association professionnelle des enseignants iraniens, a été arrêté le 27 Juin, suite à sa tentative d’obtenir un visa pour participer à la 7ème Congrès de l’Internationale de l’Éducation à Ottawa, au Canada, fin Juillet.

Après la confiscation de son passeport à la frontière, il lui a été ordonné de retourner à Téhéran pour rencontrer un procureur. Il a été arrêté dès sa présentation au bureau des procureurs où 70 enseignants manifestaient leur solidarité à l’extérieur.

L’arrestation d’Abdi fait suite à des rassemblements dans tout le pays au premier semestre pour protester contre les salaires qui, pour la majorité des enseignants, sont inférieurs au seuil de pauvreté.

L’Internationale de l’Education est fortement préoccupé par la répression des représentants du Conseil de coordination des associations d’enseignants iraniens.

Cela vous prendra moins d’une minute – s’il vous plaît, envoyez un message de protestation dès maintenant.

Et merci de transférer ce courriel aux membres de votre syndicat, vos collègues et tous les enseignants que vous connaissez.