Nissan doit mettre fin à l’antisyndicalisme primaire de sa direction aux États-Unis

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La direction de l’usine Nissan au Mississippi mène une campagne antisyndicale agressive à l’encontre de ses employés qui veulent former un syndicat pour les représenter sur leurs lieux de travail.

Nissan entrave le droit de ces travailleurs à une élection juste, démocratique, et le message de la direction est clair : adhérer à un syndicat peut coûter son emploi.

L’United Auto Workers (UAW) a lancé une campagne en ligne sur LabourStart appelant le directeur général de Nissan, Toshiyuki Shiga, à intervenir pour faire respecter le droit dans le Mississippi.

L’UAW a proposé à Nissan une approche positive et collaborative, mais la direction aux États-Unis préfère combattre l’implantation d’un syndicat plutôt que de se conformer aux pratiques de dialogue social engagées dans d’autres pays comme le Mexique, l’Espagne, le Royaume-Uni, la Russie, le Japon, l’Australie, l’Afrique du Sud et la Thaïlande où les ouvriers sont syndiqués et bénéficient d’une gestion constructive des relations sociales.

Aidez-nous à submerger Nissan de messages de soutien pour les travailleurs de Canton, Mississippi en cliquant ici.

N’hésitez pas à faire la publicité de cette campagne dans votre entourage.

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A la demande de la branche pétrole de la CFDT, LabourStart relaie sa pétition posant la question au gouvernement et à l’organisation patronale : « Le raffinage a-t-il encore un avenir en France ? » Vous pouvez la lire et la signer en cliquant ici.

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