2 février 2017
de Andy
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Des milliers de dockers nigérians ont besoin de notre soutien dans leur lutte

Au Nigeria, des milliers de dockers ont du mal à subvenir aux besoins de leurs familles depuis qu’ils ont perdu leur emploi en décembre 2015.

Les agents de sécurité et les comptables, membres du Syndicat des travailleurs maritimes du Nigéria, ont été congédiés par l’Administration nationale des ports sans aucune proposition d’emploi ni revenu de remplacement.

Cela signifie que l’Autorité ne respecte pas les normes que le Nigéria a acceptées en ratifiant la convention (n° 137) de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) de 1973.

Dites au gouvernement nigérian d’intervenir dès maintenant pour faire respecter  les droits des travailleurs en cliquant ce lien.

30 janvier 2017
de Andy
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Hongrie. Les syndicats craignent une nouvelle ère d’anti-syndicalisme dans les services publics…

Quatre dirigeants des syndicats des agents municipaux de Budapest ont été licenciés et expulsés des locaux syndicaux par leur employeur.

Les syndicalistes hongrois craignent le début d’une «nouvelle ère d’anti-syndicalisme».

Qu’ont-ils fait pour provoquer une telle réaction ? Au cours des négociations avec l’employeur, ils ont exigé une augmentation de salaire équitable exprimant leur intention de recourir à la grève si nécessaire.

Leur syndicat nous a demandé d’organiser une campagne en ligne, et à mon tour, je vous demande de prendre un moment pour leur montrer votre soutien aujourd’hui. Il suffit de cliquer ce lien.

26 janvier 2017
de Andy
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Syndicalistes virés, agressés, expulsés, menacés…

« Les membres du syndicat se sont fait chantés, privés de leurs primes, mis à pied du travail, expulsés du logement fourni par l’entreprise et physiquement agressés ».

Cette histoire se déroule dans une capitale européenne – Kiev (Ukraine).

En avril 2016, les travailleurs de l’entreprise publique de transports Kyivpastrans ont formé un syndicat indépendant pour lutter contre les violations des normes de sécurité. L’administration a répondu par un refus de reconnaître le syndicat et une vague de répression parmi ses membres présumés.

Ce comportement est totalement inacceptable. Les travailleurs de Kiev demandent notre soutien dans une campagne en ligne pour faire pression sur les autorités locales afin d’obtenir le respect de leurs droits.

Prenez un instant pour montrer votre solidarité en cliquant ce lien.

Pendant ce temps en Egypte, les travailleurs de l’usine d’huiles comestibles IFFCO à Suez se battent aussi pour défendre leur syndicat indépendant. Le 3 janvier, la police a fait irruption dans l’usine et arrêté 13 travailleurs en grève. 23 travailleurs de l’IFFCO dont des dirigeants syndicaux font maintenant face à des amendes et des peines d ’emprisonnement pour le « crime » d’avoir organisé une grève pour défendre leurs salaires.

Vous pouvez en savoir davantage et soutenir leur campagne sur le site Web de l’UITA.

22 janvier 2017
de Andy
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Bangladesh (habillement). Les ouvrier(ère)s à nouveau victimes d’une répression féroce !

Au moins 11 dirigeants syndicaux du secteur du vêtement sont détenus au Bangladesh dans un recul alarmant sur les droits sociaux et la démocratie du pays.

Depuis une manifestation des ouvriers de l’habillement en décembre pour réclamer une hausse des salaires, plus de 1 600 licenciements ont été prononcés et la police a déposé des plaintes contre 600 syndicalistes. Les forces de l’ordre ont perpétré des raids aux domiciles des leaders syndicaux et des activistes.

Vous pouvez contribuer à faire cesser cette répression des travailleurs du vêtement en envoyant un message de protestation au gouvernement du Bangladesh exigeant la libération immédiate des dirigeants et militants détenus et l’abandon de toutes les accusations portées à leur encontre.

Pour en savoir davantage et participer à cette campagne en ligne, merci de cliquer ce lien.

Partenaire

12 janvier 2017
de Andy
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Au Yémen, le pétrolier DNO rechigne à sa responsabilité sociale !

Au cours de l’été 2015, alors que la guerre éclata au Yémen, la compagnie pétrolière norvégienne DNO décida d’écourter son séjour. Son personnel local a été licencié par SMS ou courrier électronique, montrant non seulement un manque total de respect pour des ouvriers ayant loyalement servi l’entreprise depuis plus de dix ans, mais aussi enfreignant la législation locale. Ainsi, ces travailleurs ont été confrontés à la fois à la guerre dans leur pays et à l’absence de revenus pour nourrir leurs familles.

DNO n’était pas un grand employeur au Yémen avant même de s’enfuir. Elle payait les salaires les plus bas par rapport aux autres compagnies pétrolières. Lorsque ses employés ont osé faire grève, DNO a menacé de se séparer de tous ceux ayant participé aux actions collectives – encore une fois, en violation des lois locales.

Il y a 175 anciens travailleurs de la DNO et leurs familles qui attendent justice – pour des arriérés de salaires, pour des indemnités de licenciement, et pour leur dignité.

S’il vous plaît, prenez un moment pour soutenir leur lutte en cliquant ce lien.