Cambodge. Laissées pour compte par leur patron, les ouvrières réclament salaires et indemnités…

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Il y a un an, la fermeture soudaine d’une usine de vêtements laissait 208 travailleurs cambodgiens sans emploi, ni salaire, ni indemnité légale. Ces travailleurs, principalement des femmes, malgré leur longue lutte, se battent toujours pour obtenir justice. L’usine – Tricots Chung Fai – fabriquait des vêtements pour Marks & Spencer (Royaume-Uni), Nygård (Canada) et Bonmarché (Royaume-Uni).

Ils ont défendu leurs droits en empêchant les propriétaires de vendre les actifs restants de l’usine, par l’occupation physique des lieux, ainsi que par des actions juridiques. Ils ont protesté devant le bureau de Marks & Spencer à Phnom Penh, devant le Ministère du Travail, et le tribunal.

Ils ont écrit des lettres aux marques demandant de l’aide et proposant des réunions. Cela n’a rien changé. Maintenant, les travailleurs, soutenus par les syndicats et les organisations de défense des droits du travail, exigent que les marques prennent leurs responsabilités et veillent à ce qu’elles obtiennent paiement intégral des sommes qui leur sont légalement dues.

S’il vous plaît, prenez un instant pour leur montrer la votre, en cliquant ce lien.

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